La chambre noire des vacances |
Eté 2001. Nous sommes en vacances.
A l'heure où nous nous réveillons, la rue est pleine de lumière
et les volets sont fermés.
La chambre est dans l'obscurité.
Seul un petit trou dans un des volets permet à la lumière d'entrer.
Et si on lève les yeux, c'est magique :
le plafond de la chambre est devenu un écran.
La rue est là.
Les passants défilent sur le plafond,
avec les voitures et les gens à vélos.
Tous la tête en bas et les pieds en l'air.
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Je savais que mon appareil-photo ne rendrait que maigrement ce phénomène
mais j'ai quand même essayé. Voilà le résultat. |
| Vue (retournée) du mur de la chambre vers 11 heures du mat'  |
Vue sur l'avenue du Roussillon vers 11 heures du mat'  |
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Tout le monde connaît le principe de la chambre noire
mais je n'ai pas résisté à le re-expliquer... |
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Sur le fond de la boîte, l'image est renversée |
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| Le sujet. Normal, la tête en bas. |
STÉNOPÉ n. m. (gr. stenos, étroit, et opê, trou). Petit trou dans une paroi de la chambre noire, faisant office d'objectif photographique (Le petit Larousse) |
